Valérie Glasson est une artiste peintre animalière franco-suisse qui vit à Genève.

Après un Master de littérature et d’histoire de l’art, elle décide de se consacrer à la peinture.

Parmi ses principales sources d’inspiration, l’art animalier occupe une place de choix. Très sensible aux menaces qui planent sur la biodiversité, son travail, de facture figurative, cherche à mettre en lumière la beauté de la Nature tout en se démarquant d’une approche naturaliste classique. Elle explore également la flore et récemment les beautés de l’architecture dans une nouvelle série intitulée « Rêve de pierre ».

Elle aime utiliser différentes techniques : l’acrylique sur toile, l’encre de Chine sur papier, la feuille d’or ou encore l’aérographe. Pendant plusieurs années elle a associé à ses sujets une évocation poétique sous forme de calligraphie. Son fil d’Ariane est la finesse du rendu.

L’acrylique lui permet de traduire le velouté d’un pelage ou la vibration d’une plume animant la surface de la toile. Il s’agit de laisser la vie affluer tout en favorisant une mise en page épurée qui n’est pas sans rappeler l’estampe japonaise.

Régulièrement sélectionnée au prestigieux Salon National des Artistes Animaliers à Bry-sur-Marne, elle obtient le prix des Editions Abbate-Piolé en 2011 pour l’originalité de son travail. Elle est également la lauréate du Prix Roger Baron 2015, prix le plus important de France pour la peinture animalière et  couronnant l’ensemble de son oeuvre . A cette occasion, une exposition personnelle lui a été consacrée en tant qu’invitée d’honneur.

En utilisant l’encre, elle joue sur le contraste des valeurs, les dégradés qui font la transition entre l’obscurité et la lumière. Restreindre sa palette au noir et blanc rehaussé d’une pointe de rouge lui permet d’accentuer le volume de l’objet. Cette technique favorise le surgissement notamment de ses félins. En 2019, elle crée justement dans cette veine une nouvelle série intitulée « Le Cri » pour dénoncer la sixième extinction de la biodiversité. Exposée au Musée Pompon (Saulieu) aux côtés des magnifiques sculptures à la tronçonneuse de Jürgen Lingl-Rebetez, cette série a frappé par son impact visuel traduisant un véritable cri d’alarme.

Enfin, elle utilise parfois l’écriture comme matière picturale comme dans sa série Anges rebelles. Lorsqu’elle représente des oiseaux, la calligraphie s’entremêle aux plumes tandis que ses fauves se promènent dans un environnement stylisé et poétique. Il existe toujours un lien étroit entre le texte choisi (Rimbaud, Baudelaire, Leconte de Lisle…) et l’image représentée.

Valérie Glasson est une artiste peintre animalière franco-suisse qui vit à Genève.

Après un Master de littérature et d’histoire de l’art, elle décide de se consacrer à la peinture.

Parmi ses principales sources d’inspiration, l’art animalier occupe une place de choix. Très sensible aux menaces qui planent sur la biodiversité, son travail, de facture figurative, cherche à mettre en lumière la beauté de la Nature tout en se démarquant d’une approche naturaliste classique. Elle explore également la flore et récemment les beautés de l’architecture dans une nouvelle série intitulée « Rêve de pierre ».

Elle aime utiliser différentes techniques : l’acrylique sur toile, l’encre de Chine sur papier, la feuille d’or ou encore l’aérographe. Pendant plusieurs années elle a associé à ses sujets une évocation poétique sous forme de calligraphie. Son fil d’Ariane est la finesse du rendu.

L’acrylique lui permet de traduire le velouté d’un pelage ou la vibration d’une plume animant la surface de la toile. Il s’agit de laisser la vie affluer tout en favorisant une mise en page épurée qui n’est pas sans rappeler l’estampe japonaise.

Régulièrement sélectionnée au prestigieux Salon National des Artistes Animaliers à Bry-sur-Marne, elle obtient le prix des Editions Abbate-Piolé en 2011 pour l’originalité de son travail. Elle est également la lauréate du Prix Roger Baron 2015, prix le plus important de France pour la peinture animalière et  couronnant l’ensemble de son oeuvre . A cette occasion, une exposition personnelle lui a été consacrée en tant qu’invitée d’honneur.

En utilisant l’encre, elle joue sur le contraste des valeurs, les dégradés qui font la transition entre l’obscurité et la lumière. Restreindre sa palette au noir et blanc rehaussé d’une pointe de rouge lui permet d’accentuer le volume de l’objet. Cette technique favorise le surgissement notamment de ses félins. En 2019, elle crée justement dans cette veine une nouvelle série intitulée « Le Cri » pour dénoncer la sixième extinction de la biodiversité. Exposée au Musée Pompon (Saulieu) aux côtés des magnifiques sculptures à la tronçonneuse de Jürgen Lingl-Rebetez, cette série a frappé par son impact visuel traduisant un véritable cri d’alarme.

Enfin, elle utilise parfois l’écriture comme matière picturale comme dans sa série Anges rebelles. Lorsqu’elle représente des oiseaux, la calligraphie s’entremêle aux plumes tandis que ses fauves se promènent dans un environnement stylisé et poétique. Il existe toujours un lien étroit entre le texte choisi (Rimbaud, Baudelaire, Leconte de Lisle…) et l’image représentée.